Rédigé par Benedicte Gaillard, grammairienne et lexicographe, aidée de Laurence Mokrani, professeur en collège depuis plus de 30 ans, le Grevisse du collège est un ouvrage accessible, proche des pratiques de classe et du quotidien des élèves. Jean-Christophe Pellat, professeur émérite de linguistique française et auteur de la collection Grevisse de l’enseignant, a contribué à une relecture scientifique.
Afin de répondre aux attentes des enseignants, des parents et des élèves, le Grevisse du collège s'est appuyé sur de nombreuses études, conseils et avis d'experts.
Parce que les élèves sont tous différents et qu’ils n’apprennent pas de la même façon, le Grevisse du collège propose une approche unique pour réviser à la maison.
Dit-on : « Je vous serais gré » ou « je vous saurais gré » ?
Ce mot n’est pas (encore) dans les dictionnaires, mais il a été popularisé en 2020.
Les manuels d’exercices d’orthographe hésitent entre « Zéro faute » et « Zéro fautes ».
« Il est tombé » ou « il a tombé » ? « Elle est montée » ou « elle a monté » ?
Pour répondre à cette question, employons la forme dialoguée des anciennes grammaires : l’élève (« Disciple ») pose des questions au « Praecepteur » qui lui répond (Ramus, 1562).
La vingt-sixième et dernière lettre de l’alphabet a d’abord une valeur phonétique, pour noter le phonème [z]. Pourtant, elle est le parent pauvre, car celui-ci est noté dans 90% des cas par l’omnipotente -s- entre voyelles (« poison, désert, rose »).